Ce mercredi 18 mars, c'est à Carvin qu'aux côtés de Didier Manier, président du Conseil général du Nord, et de Michel Dagbert, président du Conseil général du Pas-de-Calais, que le Premier Ministre, Manuel Valls, est venu, en chef de la majorité gouvernementale, réaffirmer les enjeux de la campagne départementale.
Dans le contexte de gravité de la menace terroriste, après avoir rappelé l'importance du rassemblement face aux défis, le Premier Ministre a souligné « le choix important et décisif pour les Français de désigner leurs conseillers départementaux », car les politiques des conseils départementaux, c'est la solidarité.
Il a dénoncé ensuite les tromperies du FN, qui « ment aux Français » (sur l'Europe, les barrières douanières, sur l'euro).
Il a ensuite mis en perspective l'action gouvernementale depuis 2012, sa détermination à réformer pour une France plus juste, plus forte et a souligné les premiers résultats.
Puis Manuel Valls, combatif et volontaire, a exhorté à la mobilisation pour ces élections départementales : « Il n'y a de batailles perdues que celles qu'on ne mène pas ! ».
Il a raison ! Jusqu'au bout, il faut chercher à convaincre car l'abstention, c'est la résignation, et ne pas voter socialiste, pour les candidats de la majorité départementale, c'est prendre le risque de l'élimination de la Gauche à l'issue du premier tour, voire de faire gagner le FN ! Et cela, nous, les républicains, ne pouvons l'admettre !
Nous, nous avons un visage, nous sommes des élus connus, nous avons de l'expérience, nous saurons remplir la fonction de conseiller départemental. Car il ne suffit pas d'être élu sur un slogan (ce n'est pas Marine Le Pen qui va être le conseiller départemental de tous les cantons… Surtout qu'elle n'est même pas candidate dans le Nord !) mais il y a un travail d'élu à faire ensuite, du quotidien de nos concitoyens à gérer, avec sérieux et responsabilité.
Nous, nous sommes prêts !