Le 11 mai dernier, j’interpellais par écrit la secrétaire d'État chargée des aînés sur les difficultés actuelles des structures d'aides et de soins à domicile intervenant auprès des personnes et des familles en situation de fragilité ou de perte d'autonomie.
En effet, selon les associations du service à domicile, 60 000 personnes et 10 000 salariés d'une centaine de structures françaises sont aujourd'hui en grandes difficultés. 400 autres structures seraient également menacées. Si la qualité du service rendu aux familles ou personnes en situation de fragilité ou de perte d'autonomie exige logiquement une professionnalisation des personnels en matière de qualification sanitaire et médico-sociale, cette dernière n'est pas valorisée par une tarification pour le moins peu adaptée.
Pour lire la suite de ma question et la réponse ministérielle, cliquer ici.