Cet après-midi s’engage dans l’hémicycle l’examen de la 1ère partie de la loi de finances pour 2013 (partie fiscale) et de la loi de programmation des finances publiques pour les années 2012 à 2017. Cela va nous conduire à siéger toutes les nuits, jusqu’aux petites heures de samedi matin (au moins), vu le nombre d’articles.
Membre de la commission des finances, je suis l’un des orateurs du groupe socialiste, notamment pour défendre les amendements du groupe ou ceux que j’ai déposé.
Ainsi, mardi dans la soirée, j’ai été amené à intervenir pour faire l’explication de vote, au nom du groupe socialiste, pour rejeter la motion de rejet préalable déposée par l’opposition et défendue à la tribune par le député UMP, Yves Censi.
Quel culot, ils ont les députés de l’opposition, de demander le rejet de cette loi de finances alors que sa principale caractéristique est de redresser les comptes de la France que les gouvernements qu’ils ont soutenu hier ont dégradé !
Comme je le dénonce au micro, ils ont « créé les fractures », et ils nous ont « laissé les factures » ! Leurs responsabilités dans l’état de nos finances publiques sont écrasantes. A l’inverse, la loi de finances pour 2013 se veut crédible, équilibrée et juste.
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