Les courriers et messages que j'ai envoyés jadis au maire de ma commune, et que j'envoie maintenant à mon député-maire, comportent très peu de points d'interrogation lorsque ce n'est aucun. Ils n'en attendent pas moins une réponse, ce qui n'est pas toujours le cas puisque aucune question n'est posée ouvertement. Aujourd'hui, à l'Assemblée nationale, mon Député-maire a parlé de convention entre Etats, de problèmes de vie, d'habitants de zone frontalière, de convention, de volonté claire, de mesures discriminatoires, …. Pourtant, mon Député-maire, lorsqu'il n'était encore que maire, mettait une "frontière sur une certaine zone, devenue depuis site, dite de l'Union car le territoire concernant sa ville avait une superficie minime par rapport à celui de ses deux voisines et qu'il n'aurait que des logements qui y seraient construits. Ce à quoi je lui rétorquais que les Wattrelosiens de l'Ouest wattrelosien ne s'arrêteraient pas à la limite de Wattrelos pour profiter de ce qui serait réalisé sur ce Site de l'Union et que l'implication de certains d'entre eux devaient avoir, sinon son soutien, tout au moins son attention. Hélas, la semaine passée j'ai encore entendu ce même discours les limites territoriales communales dans un service municipal de la Ville de Wattrelos. Ce que mon Député-maire veut faire appliquer entre deux Etats ne serait-il pas possible entre deux ou trois villes voisines ? Ne peut-on envisager un projet intercommunal où Roubaisiens, Tourquennois et Wattrelosiens seraient égaux et unis dans une même démarche citoyenne car soutenus par leur maire respectif ? Ou faut-il envisager le rétablissement de l'octroi rue de l'Union ? .