Après avoir épinglé et félicité les médaillés du travail, pour les socialistes wattrelosiens, il est une bonne habitude : celle de se retrouver entre amis, autour d'une table pour un beau moment de camaraderie. Je les ai rejoints après être allé porter un peu de muguet dans les pavillons de la maison de retraite.
Et au siège du parti, rue Jeanne d'Arc, ce fut un bien beau et bon moment de convivialité. Pas loin de 200 convives militants et sympathisants (pour un peu, il aurait fallu pousser les portes pour les accueillir) s'étaient réunis autour de Christophe D'Hulst, notre secrétaire de section... et, en famille, avec les voisins et amis, chacun a pu se sustenter d'une bavette ou d'une assiette anglaise : les frites, c'était pour tout le monde ! Et les desserts aussi...
Et de l'ambiance, il y en a eu d'autant plus que le sympathique Jean-Mi, chansonnier et ventriloque, nous a fait bénéficier d'un agréable tour de chant : s'il a pu faire reprendre en chœur "Les amants de Saint-Jean chers à Patrick Bruel, il a aussi pu glisser un constat chanté et partagé par tous cet après-midi : "L'important, c'est la rose, l'important, c'est la rose... crois-moi !"
L'important, face aux agressions des politiques économiques et sociales menées par la Droite, et aggravées par la crise, c'est que la Gauche, et notamment les socialistes, soient rassemblés et mobilisés, prêts pour porter haut leurs valeurs, prêts pour prendre les décisions nécessaires là où nous gérons, prêts aussi et surtout à proposer, à débattre, pour que nous puissions construire l'alternative politique en France en 2012.
Ce repas pris en commun, dans la joie et dans les convictions, est un signe de cette mobilisation wattrelosienne,... laquelle fut superbement illustrée par la sortie très matinale de quelques camarades, très tôt en ce 1er mai, pour pouvoir afficher partout sur les colonnes d'affichage libre de la ville, le poing à la rose emblématique du parti socialiste, avec la mention : "1er Mai, Fête des Travailleurs". Merci, les copains !
C'est un bien sympathique hommage aux travailleurs, à ce monde du travail que nous soutenons de notre engagement politique...