Dans le cadre de l’examen des budgets des différents ministères (ou plus exactement des missions) qui décomposent le budget de l’Etat, plusieurs membres de la commission des finances se voient attribuer la fonction de rapporteur spécial, qui leur confère la responsabilité de suivre, pour le compte de la commission, le budget du ministère en question.
C’est ainsi que de 1997 à 2002, j’étais en charge des comptes spéciaux du Trésor et que, de 2007 à 2012, j’ai eu à suivre les engagements financiers de l’Etat.
Pour cette mandature, sur les 49 rapports, 34 sont confiés à des députés de la majorité et 15 à des députés de l’opposition.
C’est dans ce cadre que, par vote unanime de la Commission des finances, mes collègues et le rapporteur général du budget m’ont désigné rapporteur spécial sur la mission Ville.
C’est ce que j’avais demandé : tant mieux ! Cela me permettra de suivre les évolutions budgétaires et les politiques du ministère de la Ville. Toutes les actions de celui-ci concernent en effet Roubaix et Wattrelos : ANRU, crédits de la cohésion sociale (ACSé, adultes-relais…) ou de la réussite éducative…
J’avais dit, lors de la campagne électorale, que je voulais être le député des priorités concrètes d’action pour la vie quotidienne et de l’appui à nos communes. Avec cette fonction de rapporteur spécial sur ce sujet de la politique de la Ville, je serai au cœur des priorités roubaisiennes et wattrelosiennes.